avant que l'on est créé une section propre à l'écriture, voici un sujet ouvert pour poster des texte (nouvelle, poémes etc...) que vous avez trouvé ou que vous avez écrit.
Je vous balane cette nouvelle écrite par un mec qui s'appel Bastien Tajo.
COMMUNARD!
Simon gisait près de la Seine. relevé sur un coude il admirait le clapotement de l'eau. Ses habits tachés de son sang il pouvait voir le liquide rougeatre entourer son corps. Au loin, vers la butte aux caille et dans les rues environnantes, il entendait les coups de feu et les râles de ses camarades. Les détonations se faisaient de plus en plus rare, Simon comprit alors que l'affrontement touché à sa fin. A quoi bon de toute façon... ils avaient perdu. L'armée plus nombreuse et mieux équipé était entré dans Paris au début de la semaine et le massacre avait alors commencé. La cruauté dont avait fait preuve les Versaillais était sans précédente. Exécutions sommaires, viols de femmes, assassina d'enfants, les veines de la capital voyaient couler le sang noir de la détresse. "Merde!" Simon souffrait de plus en plus. Son ventre déchiré ne lui laissait aucun repos. Doucement il s'allongea sur le dos et tendit le bras vers la Seine. Le contact entre l'eau et sa main lui glaca violemment le corps. "Merde!" répétat il cette fois ci dans un sanglot. Il se remémorait les événements. La défaite de Napoléon 3. La famine dans la capital puis la révolte. Une révolte se changeant bientôt en révolution. La fuite des bourgeois vers Versaille. Les attaques réguliéres sur Paris et Paris résistant.
Paris résistnt oui mais Paris isolé. Pas d'aide venant de la province, pas d'autres soulévements. Mais qu'est ce qu'ils foutaient bon sang? Puis, peu à peu tout devint clair. Ils avaient peur de ce qui se passait la haut. La révolution, le sentiment révoutionnaire n'était pas encore arrivé la bas. Du coup les versaillais ont multipliés les attaques, orivant les Communard de nourriture d'eau et de munitions. Fatalement le pire était arrivé et là : l'horreur. Il avait perdu tout espoir. "plus que quelque minutes et c'est vraiment fini". Maintenant on entendait presque plus de coup de feu. Les dernières détonations semblaient être les éxécutions sommaires des blessés. Simon se redressa et regarda autour de lui. A quelque métres il voyait une ombre allongé. Il rampa vers elle. Une femme gisait morte. Un petit garçon accompagné de sa petite soeur pleuraient sur ses restes, jurant de la venger un jour. Simon réalisa. Oui les Communard avaient été massacrés. Oui la révlte avait été étouffé. Mais la misére elle etait toujours présente. Comme il disait avec les autres "sa branle dans le manche!"Il avait dit sa tout haut sans s'en redre compte. Le petit garçon remarqua alors sa présence et le regarda droit dans les yeux. "T'en fais pas, toi aussi on te vengera". Simon n'en douta pas une seconde. Ce serait aux générations futur de reconstruire cette révolution.
Le soldat planqué dans le buissons sourit. C'était son dixiéme Communard aujourd'hui. Plongé dans ses pensées, Simon n'entendit pas la détonation et ne vit pas la balle qui lui percuta le crane lui faisant rejoindre les nombreuses victimes de cette semaine sanglante.
Bastien TAJO.